mercredi 6 avril 2011

Calomniée

Le pouvoir des calomnies

L'affaire Collet - R.


Edwige Collet lourdement diffamée sur un fonds de règlements de comptes politiques perd la garde de sa fille Marie sur décision de justice. [ le vrai nom de R. a été remplacé à la demande des intéressés]

Calomnié(e) (d'après Müller)
Les diffamations se révèlent aujourd'hui évidentes et les diffamateurs résidant en Suisse coupent tous les liens entre Edwige et sa fille.

Edwige Collet réclame justice en vain.

Madame Edwige Collet, [à]
Madame le Juge aux Affaires Familiales, 
Tribunal de Grande Instance de Bourges
Aubigny sur Nère, le 16 octobre 2010

Objet : Lettre ouverte relative aux difficultés rencontrées quant au paiement de la pension alimentaire à monsieur G. [G. comme "g" du géniteur] en sus de l’impossibilité d’avoir des contacts à distance et de pouvoir revoir ma fille Marie  tel que stipulé dans l’arrêt de la cour d’appel du 10 décembre 2009 (n°09/01048)

Madame le Juge,

Depuis le départ de ma fille en Suisse à Zurich, je me trouve confrontée à des difficultés insurmontables pour :

- Payer la pension alimentaire : les mandats internationaux et les recommandés contenant des chèques me sont renvoyés. Monsieur G.  n’a pas encore fini de payer la pension qu’il me doit mais me nargue en me disant qu’il va me faire saisir sur salaire en envoyant une lettre à la JAF. J’ai donc pris rendez-vous avec un huissier pour faire constater ces éléments. Mon intention est bien de payer la pension alimentaire par chèque ce qui me permet d’être assurée de l’adresse de résidence de ma fille. Résidant en France moi-même je me dois de respecter la loi, ce qui n’est pas du tout le soucis de Monsieur G. en Suisse.

- Pour me mettre à l’abri d’une injuste décision de justice qui ordonnerait un prélèvement sur salaire, je sais qu’il est possible de placer l’argent de la pension alimentaire en consignation afin de permettre au bénéficiaire de retirer les sommes dues quand il le veut.

- Téléphoner à ma fille : la ligne téléphonique ayant été coupée je ne peux plus depuis avril 2010 avoir de conversation avec ma fille. Elle possède un téléphone portable auquel elle n’a le droit de répondre qu’en présence de son père qui se manifeste empêchant toute possibilité de conversation. Celui-ci envoie même des sms en se faisant passer pour ma fille.

- Recevoir ma fille Marie en vacances chez moi : de coûteux billets de train directs Zurich-Paris avec accompagnatrice réclamés par Monsieur G. lui-même finissent à la poubelle. Pourtant du peu que j’ai pu entendre ma fille elle ne m’a jamais dit ne pas vouloir revenir chez moi bien au contraire, elle a passé 3 jours avec nous en avril et regrettait de ne pas pouvoir rester plus longtemps. La séparation a été un déchirement.

- Faire reconnaître la compétence de la procédure en France qui a permis à Marie de reprendre sereinement contact avec moi grâce à la médiation familiale de Madame Magnani du Relais Enfance et Famille, mais également de reconnaître la validité des résultats de l’enquête de l’AIDAPHI [Association Interdépartementale pour le Développement des Actions en faveur des Personnes Handicapées et Inadaptées] de Bourges qui m’avaient rencontrée avec mon mari hélas après que Marie ait été placée en résidence chez son père. 

Aujourd'hui, ma fille Marie R., est en train de subir en Suisse une nouvelle assistance éducative traumatisante de manière à justifier la rupture totale avec moi. Mes tentatives pour avoir des contacts avec Marie la placent en situation de "conflit de loyauté" auprès des monsieur et madame G. dont la devise est " Si tu n’est pas avec moi, tu es contre moi ".

L’avocate de Marie mais également la représentante de l’AIDAPHI avaient pourtant exprimé leur malaise en audience du JDE concernant la relation entre Marie et Monsieur G.. Le climat incestueux entourant la fille et le père, encouragé par la belle-mère a été à de nombreuses reprises dénoncé par mes proches et moi-même. Aucune enquête concernant la belle-mère n’a été faite quant à ses antécédents familiaux sur lesquels je nourris les plus grandes suspicions suite à des révélations de ladite belle-mère à mes parents mais également à des révélations que Marie m’avait faites. Éléments totalement ignorés dans le jugement final du JDE concernant Marie.

L’obtention d’un passeport pour Marie hors mon consentement m’a amenée à éprouver de grandes craintes exprimées depuis longtemps quant à la volonté des monsieur et madame G. de "disparaître" avec ma fille comme ce fut le cas dans l’affaire "Okwari et Shahi'Yéna Fortin". Leurs délires ésotériques sont du même type que ce monsieur Fortin sauf que la ruse des G. a été de s’allier aux services sociaux pour obtenir toute forme d’absolution.

Je n’ai plus la force de vivre à nouveau de longues procédures avec des services sociaux qui exigent que je m’exprime en allemand que je ne parle pas, que je me déplace pour les rencontrer et que je me débrouille pour trouver un interprète. Je me dois également de préserver ma vie familiale auprès de mes deux autres jeunes enfants qui ne méritent pas non plus de subir ces agressions à distance.

Ce que j’attends de vos services, ce n’est rien d’autre que de faire respecter un jugement en toute justice. Les nombreuses preuves de la malveillance et de la mauvaise foi des monsieur et madame G. ne manquent pas. J’ai respecté ce jugement de la Cour d’Appel à la lettre, mais en Suisse il n’est pas exécutoire. Ne faites pas que je sois condamnée à une amende ou à une peine de prison parce que Monsieur G. s’amuse à refuser mes chèque et mandats.

Aidez-moi en m’expliquant la marche à suivre pour placer cet argent en consignation afin que ma famille et moi-même puissions enfin être à l’abri des mauvais coups de Monsieur G..

Dans l’attente de votre conseil, je vous prie d’agréer, Madame la Juge, l’expression de ma considération.

Edwige Collet

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