vendredi 1 avril 2011

Justice familiale

La justice familiale


Elle est très spéciale la justice familiale en France. C'est une machine autoritaire déguisée, servant à normaliser une politique familiale idéologisée dans le seul intérêt des professionnels au mépris des familles qui ont le malheur d'avoir affaire à elle, soit par des dénonciations calomnieuses, soit dans des conflits familiaux où les enfants ne sont nullement en danger au sens de l'article 375 du code civil.

L'"ouverture" de la justice d'après Komarnicki
Mais les dangers, ces professionnels se chargeront alors de les voir partout au moyen de marqueurs dignes des plus grands paranoïaques de la galaxie. Cette justice familiale juge des parents qui n'ont commis aucun méfait, aucun crime sur leurs enfants, mais les persifflages passionnent les robes noires au delà de n'importe quel fait divers réel.

Cette justice là juge des parents pour ce qu'ils ont fait de mieux dans leur vie : leurs enfants. Cette justice là réduit et nivelle les responsabilités parentales suivant ses ressentis sans observation objective de faits réels.

Souvent de simples rapports d'enquêteurs sociaux aux abois font loi ou d'experts qui se prennent pour Dieu le Père suffisent à envoyer un parent aux enfers le privant de son rôle le plus beau, celui d'être père ou mère sans que rien de grave ne l'indique hormis les idées préconçues des professionnels.

La convention internationale des droits de l'homme n'est pas respectée dans cette justice, qui est en fait le seul pouvoir à ne pas s'excuser pour ces erreurs (et horreurs).

Il y a des avocats qui se prennent pour des experts psy, il y a des experts psy qui se prennent pour des avocats et prennent parti. Il y a des magistrats qui se contentent d'aller où le vent des rumeurs les mènent sans même prendre la peine de lire en détail (qui fait la différence) les tenants et les aboutissants d'une affaire, pièces annexées pourtant à l'appui.

En France, être parent c'est s'attendre en cas de séparation ou en cas d'ennemis médisants quant aux capacités parentales, à être sous contrôle d'un Juge qui décidera d'autorité ce à quoi le parent aura droit ou pas.

Un parent est un parent, à moins d'un comportement délictuel et gravement sordide, un parent a le droit de sa fonction sans qu'un juge vienne lui interdire de l'être et le réduise en miette à sa guise armé de ses collaborateurs dont les intérêts supérieurs sont tout sauf ceux d'un enfant.

Comment garantir des valeurs morales à ces enfants happés dans cette justice qui fait de leurs parents des non grata dans leur vie ?

Cette justice là fabrique de futurs délinquants, des paumés, des écorchés, qui rempliront les foyers ou les prisons ou seront toujours rattrapés par leur parcours  traumatisé d'une manière ou d'une autre.

Article Collectif
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Affairisme familial


Peur ou pas peur ?
Le danger qui pulvérise une famille provient de plusieurs détonateurs et parvient à un résultat fatal et unique : l'atroce séparation des parents et de leurs enfants "Au nom de la République", sans contentieux pénal ni maltraitance avérée. 

Les services sociaux ont des perceptions à l'envers : loin de prêter assistance, ils prêtent l'oreille aux calomnies, aux dénonciations anonymes et sautent sur la première occasion pour diffamer les parents les plus honorables, et quand ces derniers sont outrés de tels procédés, leur dressent des rapports sordides et gravement accusateurs.

Mais pourquoi un tel acharnement, un tel penchant pour la destruction ?

Parce qu'il est selon eux, indispensable d'assurer la pérennité des foyers, justifier leur raison sociale, créer des emplois, travailler en ce sens en harmonie avec "la justice". Parce que le business est à tous les étages, donne à manger aux avocats, familles d'accueil et SS (se(r)vices sociaux), invente de nouvelles structures "points de rencontre parloir" entre parents et enfants pour mieux casser leur intimité familiale.

Les Magistrats ne badinent pas avec la calomnie, tant que ce n'est pas prouvé qu'en est une, ils la chérissent autant que possible. Et ils se reposent volontiers sur l'avis d'experts rémunérés pour enterrer vivants les parents, mandatés pour leur donner le dernier coup de grâce et apporter à la justice les meilleurs motifs de les  priver de leurs enfants.

Les affaires familiales pullulent d'un département à l'autre, ce sont de vraies "affaires" au sens lucratif. Les tribulations de cette trilogie - SS/Justice/Experts - au pouvoir innommable au détriment de la moralité tiennent du thriller psychologique.

Pour assaisonner le tout, les extravagants dignitaires maçonniques à 3 étoiles y mettent leur grain de sel, avocats et parrains en maçonnerie, magistrats gérant l'"affaire" avec opacité et sens du service fraternel, s'accrochant à son siège inamovible avec la volonté de ses pairs.

Aussi bien implanté dans la justice que dans la police, ce système lucratif  trempe son business là où il s'agirait de laisser aux parents honorables le droit d'élever leurs enfants et leurs droits à respecter. Ces nombreuses victimes se demandent jusqu'à quand ce cirque va prolonger son règne. 

On est en présence d'un véritable pourrissement des valeurs sociales faussées par les SS dont le but ultime est la destruction de l'institution familiale.

Dans la plupart des audiences, les arguments sont palliés par du remplissage de paroles pour ne rien dire de la part des magistrats, des avocats et des SS, puisqu'il n'y a aucun contentieux pénal ni motifs assez graves, justifiés et factuels pour en arriver là.

Les affaires familiales connaissent des dérives à pointer du doigt mais l'opinion publique est particulièrement muselée alors qu'il y aurait de quoi écrire des best-seller au sujet de ces thrillers.

Sachez qu'il existe "des dîners du Palais", fraternelle de la justice des affaires familiales qui rassemblent avocats et magistrats devant des "affaires", peut être même la vôtre pour lesquelles sont prises des décisions de justice. Et soyez certain que ces éminents apposeront leurs trois étoiles au sein même de leurs ordonnances de connivence, vous propulsant sans état d'âme dans les pires tourments de l'enfer sur terre en vous privant de votre chair.

Il y aurait des pages et des pages à écrire sur cette justice des affaires tout court mais à la fin de toutes ces pages quantifiées d'histoires tristes vécues, la dédicace coule sous le sens : à quand la fin ? 

Article Collectif
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Le rocker sur la vidéo s’appelle Nick le juge car il a été vraiment juge en Suisse pendant sept ans. Ceci est son unique clip pour le moment : " Non je ne regrette rien ", d’après le titre original d'Edith Piaf, tourné à Paris dans un bar.


Nicolas Marthe, de son nom de naissance, est un rebelle de 43 ans qui après ses études de droit a exercé pendant cinq ans comme avocat avant d’aller étudié la guitare à Los Angeles Music Academy aux Etats-Unis. De retour en Suisse, il est élu en 2001 président du tribunal de district de Neuchâtel mais il continuait de jouer de la guitare dans des groupes amateurs. Suite à quoi, il est convoqué en 2007 par des parlementaires qui lui ont signalé qu’il ne sera pas réélu s’il continue à faire de la musique, preuve pour eux que lui manque de maturité et de sens de responsabilité.

En 2008 l’avertissement devient réalité et depuis Nick s’est consacre entièrement à sa musique avec un sens aigu de la provocation, en cognant surtout sur les juges "conformistes" : " Lorsque j’étais juge, j’étais incarcéré dans des schémas réactionnaires qui veulent qu’un juge soit lisse et policé, et surtout pas libertaire ou rocker ". Du coup, il donne des interviews depuis la prison suisse de Bellechasse : " parce que je suis plus libre de m’exprimer au fond de cette cellule que quand j’étais magistrat ". (Boris Tanusheff)

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