vendredi 25 mars 2011

Propagande ASE

Propagande ASE (antitract)


La brève publicitaire de l’ASE (aide sociale à l'enfance), que voici, prône le recours au service de juge des enfants pour qu’une famille en difficulté, une fois privée de sa progéniture, puisse "reprend son souffle".

 La "solution" (finale) selon ASE 
(cliquez sur l'image pour lire l'article)
Une intention digne des SS (se(r)vices sociaux) de l'État que j’ai décidé à illustrer à hauteur de ses propos. Cependant j’ai dû renoncer à utiliser à cette fin l’emblème du svastika inversé – la loi "Gayssot"* me l’interdit. Je sais qu’à l’Ouest il est plus parlant que celui que vous voyez à la place avec la faucille et le marteau mais il se trouve que dans certains pays la liberté d’expression est surtout la liberté d’interprétation des puissants du jour. Or il fallait s’y attendre qu’avec des alliés communistes au parlement, les socialistes français ne vont pas traiter historiquement de la même manière les socialistes-nationalistes (les nazis) et leurs camarades les socialistes-internationalistes (les bolcheviks) qui ont eu le bon réflexe de ne pas évoquer le racisme dans leur doctrine. – La partie "inter" de leur autodétermination exige qu’on présent mieux ses aspirations d’hégémonie mondiale. – Et ils ont eu raison de se dissimuler, parce que malgré le fait que les "Rouges" ont causé beaucoup plus des victimes que les "Bruns", leur idéologie n’est pas encore reconnue comme criminelle. Vu ses circonstances, j’avoue que je suis presque content que le rapporteur du projet de la loi a été l’un d’eux, ainsi leur symbole a été épargné de l’interdiction et je peux l’utiliser à volonté pour exprimer mes sentiments envers toutes idéologies totalitaires dont il est l’incarnation originelle.

*La loi Gayssot, du nom du député communiste et ministre jospinien qui l’a proposé, est la désignation courante de la loi du 13 juillet 1990 qui tente " à réprimer tout propos raciste, antisémite ou xénophobe " en modifiant principalement la loi sur la liberté de la presse. Les antagonistes de cette loi ont été nombreux mais ils n’appartenaient pas à la majorité de l’époque : les anciens ministres de la justice Jean Foyer, Jacques Toubon, Alain Peyrefitte et Simone Veil, les hommes politiques tels que Jacques Chirac, Philippe de Villiers, François Fillon, Dominique Perben, Gilles de Robien, Jean-Louis Debré, Pierre Mazeaud, les historiens François Furet, François Bédarida et Claude Liauzu (" Il est dangereux d’empêcher la liberté de la recherche et il est préférable d’affronter les négationnistes dans un combat d’idées. "), le fondateur de Reporters sans frontières Robert Ménard, le philosophes Paul Ricœur, … Les opposants à la loi affirmaient que celle-ci instaure une "vérité officielle" et qu'elle est contraire à l'une des premières libertés politiques - la liberté d’expression.

Boris Tanusheff
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